Efficacité

Les patients font souvent état d'une vitalité accrue et d'un bien-être général amélioré peu de temps après la thérapie.

Outre la filtration directe des toxines et des marqueurs d'inflammation, l'INUSphérèse^® entraîne également un soutien de la microcirculation sanguine. Les tissus et les organes sont ainsi mieux approvisionnés en oxygène et en nutriments.

Des études ont montré des réductions significatives du fibrinogène et de l'homocystéine ainsi qu'une diminution durable des lipides. Des analyses de sang avant et après le traitement par INUSpherese^® ont révélé une réduction significative des marqueurs inflammatoires et des concentrations de métaux dans l'organisme ^{16 17}.

Depuis son lancement, l'INUSphérèse^® a été reconnue dans le monde entier, avec plus de 50.000 thérapies réalisées dans 43 centres actifs. Elle est exclusivement utilisée par des médecins spécialistes certifiés et formés pour garantir une qualité et une sécurité maximales. Il est prouvé que l'INUSphérèse^® peut apporter des améliorations dans 17 maladies différentes.

Plus de 31.000 études ont examiné les multiples applications de l'aphérèse thérapeutique. Une analyse détaillée des données, basée sur le protocole SOP INUSpherese^®, a confirmé l'efficacité de la thérapie et a permis d'établir un protocole de traitement validé. Ce protocole SOP montre une efficacité documentée pour 17 maladies.

Des micro et nanoparticules de différentes tailles et compositions chimiques ont été trouvées dans le filtrat de l'INUSpherese^® (éluat). Les concentrations de différents métaux dans l'éluat sont particulièrement frappantes.

Le tableau montre la valeur moyenne du lixiviat analysé lors du premier et du deuxième traitement ^{INUSpherese®}. Les barres grises représentent les valeurs limites.

Concentration (μg/l) de métaux filtrés dans l'éluat du premier et du deuxième traitement par INUSphérèse (n = 6). L'intervalle entre les traitements était d'un jour. Les valeurs limites ont été établies selon les critères de l'OMS et le percentile 75% des laboratoires INUS sur plus de 500 échantillons¹⁸.

Dans le cadre de recherches scientifiques, l'éluat obtenu par plasmaphérèse à double filtration (DFPP) a été analysé à l'aide de techniques telles que la microscopie électronique à balayage à émission de champ et la spectroscopie à rayons X à dispersion d'énergie FE-SEM/EDX)¹⁹.

Le graphique montre que l'INUSphérèse^® élimine efficacement les métaux lourds du sang, le filtrat présentant dans la plupart des cas une charge plus faible après la deuxième utilisation.

Par exemple, les résidus d'aluminium sont presque 10 fois supérieurs aux limites fixées par l'OMS et les résidus de titane sont plus de 6 fois supérieurs.

Pourquoi l'INUSphérèse ne peut-elle pas filtrer tous les résidus en une seule fois ?

Les protéines et les lipides pathogènes sont directement filtrés. Les métaux lourds sont en premier lieu peu présents dans le plasma sanguin car ils se déposent dans les cellules. Pour éliminer efficacement les métaux lourds, on utilise 2 traitements INUSpherese^® à 48-72 heures d'intervalle.

Ainsi, il est également possible d'éliminer des substances qui se sont déposées dans les tissus et qui, par le biais de la post-mobilisation et de la compensation de la saturation, parviennent dans le plasma ou en direction des reins dans les 48 heures.

Après plus d'une décennie de recherche et de développement, l'INUSphérèse^® est établie en médecine depuis 2018. Le traitement scientifique des données sur l'INUSphérèse^® et ses résultats ont été vérifiés jusqu'à présent dans 12 publications médicales au total. L'appareil et le kit de filtration présentent la certification ISO 13485:2016.

Entre 2006 et 2017, plus de 512 000 points de données ont été collectés et analysés statistiquement selon le protocole SOP INUSpherese^®. Cette analyse complète des données a permis de valider et d'établir un protocole de traitement.