Imagerie chimique rapide de particules individuelles de nano-plastiques par microscopie SRS

A titre de démonstration, des micro-nano-plastiques sont analysés dans l'eau en bouteille avec un profilage multidimensionnel de chaque particule de plastique. La quantification permet de conclure que chaque litre d'eau en bouteille contient plus de 105 particules, dont la plupart sont des nanoplastiques. Cette étude promet de combler le manque de connaissances sur la pollution plastique au niveau nanométrique.

Kunststoffe sind mittlerweile in unserem täglichen Leben allgegenwärtig. Das Vorhandensein von Mikroplastik (1 µm bis 5 mm Länge) und möglicherweise sogar Nanoplastik (<1 µm) gibt in letzter Zeit Anlass zu gesundheitlichen Bedenken. Insbesondere Nanoplastik gilt als giftiger, da sie aufgrund ihrer geringeren Grösse im Vergleich zu Mikroplastik viel leichter in den menschlichen Körper gelangen können. Der Nachweis von Nanoplastik stellt jedoch enorme analytische Herausforderungen sowohl an die Empfindlichkeit auf Nanoebene als auch an die Spezifität der Kunststoffidentifizierung dar, was zu einer Wissenslücke in dieser mysteriösen Nanowelt um uns herumführt.

Pour relever ces défis, nous avons développé une plateforme d'imagerie utilisant la diffusion Raman stimulée hyperspectrale (SRS) avec un algorithme d'identification des plastiques automatisé qui permet une analyse des micro-nano-plastiques au niveau de la particule unique avec une grande spécificité chimique et un débit élevé.

Des scientifiques des universités américaines de Columbia et de Rutgers ont découvert une quantité alarmante de micro et nano particules de plastique dans l'eau en bouteille. Dans un litre moyen d'eau en bouteille, ils ont trouvé près d'un quart de million de ces minuscules particules de plastique.

Les particules ont été identifiées et catégorisées pour la première fois à l'aide d'un microscope utilisant deux lasers. Bien que les scientifiques aient déjà soupçonné la présence de telles particules en grand nombre, ce n'est que maintenant que des mesures et des typologies précises ont pu être effectuées.

Ces conclusions ont conduit certains chercheurs à réduire leur consommation d'eau en bouteille.

Naixin Qian, Xin Gao, Xiaoqi Lang, Wei Min